La crypte
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(*) - Dans le patois du pays, la lèproserie était baptisée la “Râcherie”.
Lorsqu’avec le temps la maladie disparut, la statue fut conduite dans la crypte actuelle. Petit à petit naitra la dévotion qui portera sur les maladies ressemblant à la lèpre.
La vierge en bois sera, à la fin du XVIème siècle, remplacée par une statue en pierre, la vierge à l’oiseau, réplique semble-t-il de l’originale. Mutilée à la révolution, elle fut restaurée en 1971.
L'extérieur
L'intérieur
Photo Geoportail
Plan Geoportail
Plan Geoportail
Edifice du 12e siècle se composant d'une nef avec bas-côtés, d'un double transept avec absidioles en demi cercle et d'un choeur terminé par un sanctuaire en hémicycle. De chaque côté du choeur se trouvent deux sacraires dont l'un est en partie occupé par la tourelle d'accès au clocher, qui s'élève sur la croisée des transepts. Sous toute la surface du choeur et du sanctuaire, et suivant la disposition générale du plan de ces parties de l'édifice, s'étend une vaste crypte comprenant sept travées. Elle renferme la statue en pierre du XVe siècle de Notre-Dame de la Râche (*), détériorée pendant la Révolution et restaurée définitivement en 1971. L'édifice a fait l'objet de travaux de 1859 à 1865. Les quatre premières travées de la nef et des bas-côtés ont été entièrement reconstruites. Le reste de la nef, les transepts, les absidioles et les sacraires ont également été transformés. Le choeur, le sanctuaire et la crypte n'ont pas subi de changements. Ces parties du monument datent de la seconde moitié du 11e siècle.
Domérat
Eglise Nôtre-Dame